► MA PETITE BOUILLE : Emma Stone ♥ ► PSEUDO : Emi Burton ► APPARU DANS LE ROMAN LE : 03/09/2014 ► EXTRAITS POSTÉS : 75 ► EMPLOI/ÉTUDES : Fleuriste
| Sujet: (M) ANDREW GARFIELD - You were my happy ending Ven 5 Sep - 1:01 | |
| " Love is an open door " Prénom Prénom Nom feat Andrew Garfield " Sa petite histoire... " Salut toi ! Je m'appelle pseudo au choix. Mais mes amis aiment bien m'appeler au choix. Formidable n'est-ce pas ! Je suis né(e) à au choix. C'est le au choix que j'ai poussé mon premier cri, j'ai donc entre 28 et 31 ans. Grâce à mes paternels, j'ai la nationalité américaine, possiblement double nationalité et je suis d'origine au choix. Dans la vie, je travaille en tant que au choix... C'est d'ailleurs là que je peux y rencontrer plein de femmes pour mon plus grand plaisir, mais bon je suis en couple / célibataire Sinon je suis plutôt rancunier, protecteur, juste, jaloux etc. Je fais partie du groupe au choix. Sinon on me dit souvent que je ressemble à Andrew Garfield. L'histoire est plutôt libre, à condition de respecter certains points importants qui concernent Maxine. ► Il n'est pas de Pearl Trees, ou alors il y est né puis en est parti avant de revenir lorsque Max avait 17 ans (donc à voire en fonction de l'âge que tu lui donnes pour savoir quel âge il avait à l'époque). Il a rencontré la jeune femme par hasard, en lui venant en aide face à des types sans coeur qui s'en prenaient à elle alors qu'elle pleurait la mort de son père au cimetière, mais après l'avoir aidée, elle l'a rejeté. - Extrait du passage :
Elle passait tous les jours déposer des fleurs sur sa tombe, de magnifiques fleurs, et passait des heures à regarder la pierre sans rien dire, ne faisant que pleurer, encore et encore. La plupart des gens avaient pitié pour elle, mais pas tous. « La voilà encore à chialer, j’vous l’avais dit qu’elle serait là ! Cette cruche passe toutes ses journées à pleurnicher ! » Elle ne comprenait pas pourquoi certains de ses camarades s’acharnaient sur elle après ce qu’elle avait vécu. Des monstres, voilà ce qu’ils étaient. « Bah alors, tu réponds pas ?! Ca fait des mois que ton père a crevé, t’as pas fini de chialer ?! » Choquée par ces mots, elle ne fit que pleurer d’avantage, dans un mélange de profonde tristesse, de rage, et de désespoir. Elle ne pouvait pas répondre, tâchant seulement de leur lancer un regard noir et menaçant. « Ouuuh ! Attention, elle va sortir les crocs les gars ! » Ils riaient. Ils riaient de tout ça, de toute cette histoire, de la mort de son père. Elle s’imaginait déjà les écorcher vifs avec ses griffes, sans pour autant bouger, lorsqu’un jeune homme arriva soudain. « Vous n’avez pas honte de vous en prendre à elle comme ça ?! Vous êtes qui pour juger, ou simplement oser parler comme ça des morts ?! » Il était plus âgé, il ne venait pas d’ici, elle ne l’avait jamais vu avant. Ce qu’il faisait dans un cimetière, bonne question, mais il était là. Les monstres partirent, lâchant des lâches jurons qui se perdirent dans l’atmosphère. Il se retourna alors vers Maxine, lançant un doux sourire. « Tu vas bien ? Ne les écoute pas parler, ils n’ont pas de cœur. Je suis désolé pour… ton père. Ca doit vraiment être dur… » Elle fronça les sourcils à sa remarque. Elle n’aimait pas ça. « De quoi tu te mêles ?! Laisse-moi tranquille. » Elle se releva alors en séchant ses larmes et rentra chez elle aussi vite qu’elle le put.
► Il est tombé très vite sous son charme et depuis cette première rencontre, il lui a parlé chaque fois qu'il le pouvait, même si Maxine, elle, refusait de le voir. Ca a duré deux ans comme ça, il lui parlait, elle le rejetait. Jusqu'au jour où il s'est enfin décidé à lui faire comprendre pourquoi il agissait comme ça en l'embrassant en pleine rue. Ce fut le début de leur histoire, Max avait 19 ans. - Extrait du passage :
Voilà deux ans que ce jeune homme l’avait aidé à se débarrasser de ces types. Deux ans qu’il lui parlait chaque fois qu’il la voyait, sans qu’elle en comprenne pourquoi. Elle savait désormais son nom, et elle avait fini par lui dire le sien, pensant qu’il partirait après ça, mais non, il ne laissa jamais tomber. Qu’est-ce qu’il lui voulait ? Elle n’en savait rien, mais ça l’énervait. Le voir la rendait nerveuse, son cœur ne supportait pas. Elle avait juste envie qu’il disparaisse, qu’il reparte d’où il était venu. Elle le rejetait pourtant, elle lui faisait bien comprendre qu’il n’était pas le bienvenu, mais rien à faire, il s’accrochait, peut-être cherchait-il à obtenir quelque chose d’elle ? Elle n’avait tout simplement pas confiance. La douleur de la mort de son père s’atténuait un peu, même si c’était toujours un sujet tabou pour elle. Elle s’était finalement décidée à reprendre la couleur naturelle de ses cheveux, redevenant blonde bien soudainement, changeant à nouveau de tête. Ainsi, certains ne la reconnaissaient même pas, et c’était parfait. Sauf que son ‘sauveur’ ne tarda pas à la remarquer. « Ca te va mieux les cheveux blonds. Tu avais l’air bien plus triste en brune. » Il souriait, s’approchant d’elle au supermarché, comme s’il avait attendu qu’elle arrive pour lui parler. Elle en avait assez de lui. Elle soupira, exaspérée. « Laisse-moi tranquille. » Elle le regarda à peine une seconde et son cœur s’emballa déjà. Finalement, elle reposa son article sur l’étagère et sortit, n’ayant aucune envie de le voir encore et encore. Elle marcha aussi vite que possible, si vite qu’il dût courir légèrement pour la rattraper. « Max, attends ! Pourquoi t’es comme ça avec moi ? » Elle bouillonnait. Ce surnom qu’il lui donnait, elle le détestait, se rappelant sans cesse des moqueries des autres, presque traumatisée. Elle s’énervait rarement, mais ce type avait le don de la mettre hors d’elle. Finalement, elle craqua. « T’as aucun droit de m’appeler comme ça ! On n’est pas potes, on est rien, compris ?! Je sais pas ce que tu cherches, mais ça m’agace ! Fous-moi la paix tu veux ! » Voilà qu’ils se disputaient en pleine rue, attirant par la même occasion le regard des passants. Elle avait horreur qu’on la remarque comme ça. « Et si je refuse ? Si j’ai envie de te parler, tous les jours si possible ? » Elle fronça les sourcils. Mais qu’est-ce qu’il voulait à la fin ? Elle n’en pouvait plus, se sentant presque harcelée par ce type, qui lui plaisait pourtant, même si elle ne l’admettait pas. Sa main partit s’écraser contre la joue du jeune homme, elle était à bout. « Alors t’es vraiment trop con ! Qu’est-ce que tu veux ?! » Il frotta sa joue douloureuse, aussi énervé qu’elle, et finalement, il lui attrapa les bras pour l’embrasser. Elle ne s’attendait pas à ça et ne sut même pas comment réagir. Il lâcha ses bras pour poser ses mains sur ses joues. Il se détacha ensuite d’elle pour la fixer. « C’est ça que je veux ! Tu comprends maintenant ?! » Elle aurait presque trouvé la scène ridicule si elle n’en avait pas été l’actrice. Elle passa quelques longues secondes sans rien dire, choquée, les yeux grands ouverts, tentant de faire le tri entre tout ce qu’elle pouvait bien ressentir à cet instant. Il la lâcha finalement et, certainement déçu de son manque de réaction, il commença à partir, la tête basse. Maxine était paralysée. Elle n’avait aucune idée de ce qui était en train d’arriver, mais sans réfléchir, elle lui attrapa la main pour le retenir. Elle n’aurait jamais pensé que ce soit lui, le grand amour, et pourtant, elle ressentait ça. Malgré son incertitude, malgré son manque de confiance, elle voulait qu’il soit là. Après ce premier baiser bien surprenant, il l’invita pour un rendez-vous et elle sut aussitôt qu’elle avait besoin de lui dans sa vie. Sa soeur fut la première au courant, évidemment, puis des présentations plus officielles ne furent pas très longues à arriver. Elle regretta énormément que son père ne soit pas là pour le rencontrer, convaincue qu’il l’aurait adoré. Ils étaient du même type, en quelque sorte. Elle l’amena un jour au cimetière, devant sa tombe, pour lui présenter son petit-ami, comme s’il pouvait l’entendre. Ils s’aimaient et c’était parfait comme ça, ils étaient persuadés que ça allait durer toute leur vie.
► Il s'est passé cinq ans avant qu'il ne décide de la demander en mariage. Ils étaient fous amoureux et persuadés que ça serait pour toute leur vie. Il organisa alors un merveilleux dîner auquel elle ne vit que du feu, puis au moment du dessert, il se mit à genoux devant elle. Elle était si émue qu'elle ne pouvait répondre, alors elle n'a fait qu'hocher rapidement la tête. Ils était fiancés. Au même moment, Maxine apprend qu'elle a une leucémie, comme son père, moins grave cependant. Il n'en sait rien. - Extrait du passage :
Cinq ans après, Maxine et lui formaient le couple parfait. Ils étaient inséparables, s’aimant comme des fous, passionnément. Il était tout pour elle, et elle n’imaginait pas le perdre. Elle n’était pas délivrée de ses complexes, bien sûr, mais il la calmait. Il était celui qui la faisait rire, qui rendait sa vie bien plus heureuse, qui lui faisait oublier la peine de la mort de son père, celui qui la croyait elle plus que quiconque. Il était l’homme idéal pour elle. Ils envisageaient l’avenir ensemble, même si pour Maxine, avoir des enfants représentait l’une de ses plus grandes peurs. Elle était persuadée qu’elle serait une mauvaise mère, sans de raison valable, peut-être, mais elle en était absolument convaincue, si bien que les seules réelles disputes qu’ils avaient portaient sur ce sujet. Lui, il n’était pas d’accord, et il voulait avoir des enfants avec elle, il voulait être père, qu’ils vieillissent ensemble, continuant de s’aimer jusqu’à la fin. Un soir, alors qu’elle rentrait dans leur appartement après sa journée de travail habituelle, les pieds en compote après avoir tenu toute la journée sur ses talons, il vint l’accueillir, des roses rouges à la main, douze exactement. Il lui prit ensuite la main pour la conduire à table, impeccable, élégante, avec une bougie en plein milieu, un vrai dîner romantique, elle sourit aussitôt. Oh, elle n’avait pas encore tout compris, non, mais elle était ravie qu’il ait fait l’effort de préparer un si beau repas. Il était incroyable. Le dîner se passa parfaitement bien, ils avaient ri, elle s’était extasiée sur sa cuisine, il avait dû passer du temps à tout faire, puis arriva le dessert. Il débarrassa la table et revint ensuite vers elle, sans aucun plat. « Ben alors, la tarte a cramé ? » Elle avait ri, il s’était joint à elle, bien plus nerveux cependant. Puis, sans crier gare, il s’était agenouillé devant elle. « Maxine… J’ai pas de grand discours à faire, ou plutôt, je préfère ne rien dire parce que je sais que tu viendrais me contredire si je te racontais à quel point tu es merveilleuse… Le fait est que ça fait sept ans qu’on se connaît toi et moi, même si au début ça a été plutôt chaotique, maintenant, c’est le pur bonheur. Tu me rends vraiment heureux, et j’espère pouvoir dire que je te rends heureuse… Maintenant je voudrais passer toute ma vie avec toi. Veux-tu m’épouser ? » Il avait sorti une petite boîte noir de sa poche, contenant une magnifique bague en or blanc. Elle avait déjà commencé à pleurer, décidément trop sensible. Lui, il avait souri de toutes ses dents, rigolant un peu face à sa réaction. En réponse, elle hocha la tête rapidement, trop émue pour parler, et lui avait sauté dans les bras, pleurant bêtement à chaudes larmes, ne se sentant pourtant pas assez bien pour être sa femme. « Je crois que c’est mort pour jurer de ne jamais te faire pleurer… » Elle avait rigolé et l’avait embrassé, puis il lui avait passé la bague au doigt. Elle était fiancée à lui, unie pour toujours. « Tant que c’est des larmes de joie, ça va. » Elle se réfugiait dans ses bras, à l’aise, heureuse d’avoir un jour croisé sa route.
► Quelques temps plus tard Maxine apprend qu'elle est enceinte. Son médecin lui dit qu'avec la maladie, ce sera très dur à gérer, et qu'il y a énormément de risques. Consciente de ça, elle avorte. Encore une fois, il n'est pas au courant de tout ça. Au moment de l'avortement elle craque et téléphone à sa soeur en lui parlant du bébé, mais pas de la leucémie. Malheureusement, la soeur le répète au fiancé, qui voit ça comme une trahison, un manque de confiance, bref, il finit par la quitter sans savoir qu'elle a fait ça pour lui, en partie. - Extrait du passage :
Quelques heures plus tard, lorsqu’elle rentra chez elle, son fiancé l’attendait, les bras croisés, tapant nerveusement du pied. Elle eût à peine franchit le seuil de la porte qu’il l’agressa déjà. « Tu comptais me le dire quand ?!! Pourquoi tu ne m’en as pas parlé ?! Un bébé Maxine !! On aurait pu avoir un bébé ! Pourquoi ? Explique-moi pourquoi tu ne l’as pas gardé, et pourquoi tu l’as fait sans me le dire !! Je ne te comprends pas ! Parle bon sang !! » Elle baissa la tête. Sa sœur l’avait trahie. « J’ai été obligé d’attendre que ta sœur me le dise pour le savoir ! Tu te rends compte ?! » Elle avait honte, oui, un peu, mais elle détestait sa sœur de tout avoir dit si facilement alors qu’elle avait juré de garder le secret. « Je n’avais pas le choix ! » Il se mit à rire, un rire méchant, un rire nerveux. « Pas le choix ?! Tu te fous de moi ?! Tu n’avais pas le choix ! La bonne blague ! Tu aurais au moins pu me le dire ! C’était mon bébé aussi ! Tu n’avais pas le droit de décider toute seule !! » Il avait raison au fond, mais lui dire, c’était aussi dire qu’elle était malade, et ça, elle ne le voulait pas. « Je n’aurais pas été une bonne mère, regarde-moi, je ne suis même pas capable de me gérer moi-même, de m’accepter, comment je pourrais accepter un bébé ?! » Elle le pensait, mais ce n’était pas pour ça. Tant pis, il croirait à cette histoire, et voilà tout. « J’aurais été là moi ! On aurait formé une famille, tu n’aurais pas été toute seule, on aurait été trois ! » Oui, il avait une fois de plus raison. « Que tu sois là ou non n’aurait rien changé. » Elle regretta aussitôt ses mots. Elle lui lança un regard paniqué, il avait déjà des larmes plein les joues. Cette vision lui déchirait le cœur. « Tu rigoles, hein ? C’est une mauvaise blague, t’as pas vraiment dit ça, pas vrai ? » Elle ne répondit rien, se contentant de serrer les poings pour se retenir de pleurer. « J’en ai assez entendu. Je… Je ne vois pas ce qu’on fait ensemble si tu penses ça… Tu n’as pas besoin de moi… » Sur ces mots, il quitta la pièce et prépara ses affaires avant de repasser devant elle. « Je… Je pensais vraiment qu’on pouvait être heureux tous les deux, et t’as tout foiré. » Elle n’osait même pas le regarder. Il attendait une réaction, mais elle ne fit pas un geste. Déçu, il partit alors, mettant ainsi fin à leur relation. Lorsque la porte craqua, elle s’écroula à nouveau. Une vie gâchée par un seul mot. Leucémie.
► Après ça, Max et lui ne se voient plus du tout. Max est partie pour Los Angeles pour se faire soigner, mais personne ne le sait, tout le monde pense qu'elle est partie à cause de sa rupture avec lui. Puis trois ans après, la voilà de retour. ► Tout ce qui n'est pas écrit est libre et au choix. Il peut avoir eu l'enfance que tu veux, être orphelin, avoir des parents divorcés, mariés, morts, avoir un frère, une soeur, les deux, c'est comme tu veux ! Ensuite, pour ces trois ans après sa rupture avec Max, il peut avoir fait ce que tu veux aussi ! Il peut même être en couple si tu veux, ça serait bien drôle à jouer ça tiens -> Mais je te laisse choisir Par ailleurs je le vois bien avoir gardé contact avec la soeur de Max ! " Ses petits liens... " We were lovers
MAXINE L. MILLWARD feat. EMMA STONE. Ils étaient fous amoureux, le couple parfait, tout le monde pensait qu'ils finiraient leurs jours ensemble et pourtant... Il avait suffit de quelques minutes seulement pour mettre fin à cinq ans de relation. Oh, ça ne veut pas dire qu'ils ne s'aiment plus, malgré les trois ans passés après leur rupture, mais il ne lui a pas pardonné, d'autant plus qu'il ne connaît pas les vraies raisons de sa décision d'avorter sans rien lui dire. Elle est d'ailleurs partie avant qu'il ait eu le temps d'en discuter plus calmement avec elle. Trois ans après la voilà de retour en ville. Comment vont-ils gérer ça ? Est-ce qu'il lui demandera des comptes ?
Le lien qui vous unit...
NOM DU PERSONNAGE feat. NOM DE LA CELEBRITE. Décrivez ici en quelques lignes les liens unissant ce personnage avec le scéna. Décrivez ici en quelques lignes les liens unissant ce personnage avec le scéna. Décrivez ici en quelques lignes les liens unissant ce personnage avec le scéna.
Codage par Pearl Trees
Dernière édition par Maxine L. Millward le Sam 6 Sep - 19:06, édité 1 fois |
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