(F) KAREN GILLAN - man, can you stop stealing everything?
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Aksel E. Griffin
► MA PETITE BOUILLE : Niall cutie Horan ► PSEUDO : PUDDING MORPHINA ► APPARU DANS LE ROMAN LE : 25/08/2014 ► EXTRAITS POSTÉS : 48 ► EN CE MOMENT :
Sujet: (F) KAREN GILLAN - man, can you stop stealing everything? Lun 1 Sep - 15:27
"I'll learn you everything I know, yeah?"
Anastasia Prénom² Levseïev
feat Karen Gillan
" Sa petite histoire... "
Salut toi ! Je m'appelle Anastasia Prénom² Levseïev(-Finnigan), si vous voulez qu'elle ait gardé leur nom. Mais mes amis aime bien m'appeler Ana, ou Annie. Formidable n'est-ce pas ! Je suis né(e) à Tomsk, en Russie. C'est le jour au choix, mois au choix que j'ai poussé mon premier cri, j'ai donc 23 ans. Grâce à mes paternels, j'ai la nationalité américaine et je suis d'origine russe. Dans la vie, je travaille quelque part au choix. C'est d'ailleurs là que je peux y rencontrer pleinsde femme pour mon plus grand plaisir, mais bon je suis toujours célibataire. Sinon je suis plutôt protectrice, cleptomane, drôle, moqueuse, étonnante. Je fais partie du groupe au choix. Sinon on me dit souvent que je ressemble à Karen Gillan.
Histoire Tasha:
« Maman, papa est où ? » La petite fille châtain était habituée à voir son papa rentrer quand le soleil se couchait. Mais là, le soleil était déjà couché et il n’était toujours pas là. Sa mère, elle, était assise sur le matelas qui lui servait de lit. « Il va rentrer ma chérie. Il va très bien, il ne lui est rien arrivé. » Bien sûr, elle tentait de se rassurer elle avant sa propre fille. Son mari était mineur. Il était le seul à avoir un vrai travail, la mère se contentant d’être mère porteuse. Ils vivaient dans une ville nommé Tomsk. Ce n’était pas Moscou, mais ce n’était pas non plus la ville la plus dépeuplée de Russie. Ils vivaient dans un petit appartement qu’ils partageaient avec deux autres familles. Quand je dis famille, j’entends père, mère et un enfant. Les trois pères travaillaient dans la même mine et, ce soir, aucun des trois n’étaient rentrés à l’heure. N’en pouvant plus d’attendre, la jolie brune de 25 ans se leva et alla dans la cuisine avec les deux autres mères qui étaient en train de pleurer leur mari. Elle tenta de les réconforter. Leurs maris n’étaient pas morts. Les hommes morts dans la mine, ça n’arrive qu’aux autres, n’est-ce pas ? Elle fit du thé et tenta de se rassurer elle-même. Son mari n’était pas mort. Il ne pouvait pas l’être. Sa fille n’avait que quatre ans. Et s’il ne revenait pas, elle devrait surement trouver quelque chose d’autre à faire. Pour le moment, elle n’était pas enceinte, et s’il ne revenait pas, la mère et sa fille n’auraient bientôt plus de quoi vivre. « Maman, y’a quelqu’un à la porte ! » A la phrase de la petite Anastasia, les trois mères se précipitèrent d’un pas commun vers l’entrée de leur petit refuge. Ce fut la mère blonde qui ouvrit la porte. Derrière se trouvait un mineur. Mais ce n’était pas leur mari. Le sourire se voulant réconfortant de l’homme face à elles les mit devant le fait accompli. Elles étaient désormais trois femmes, seules avec trois enfants, deux filles et un fils. Et elles n’auraient plus de revenus d’argent pendant un petit moment.
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« Bonjour, tu dois être Tasha, c’est ça ? » La jeune rousse de 9 ans rigola « Non, moi c’est Anastasia, Tasha, c’est elle là-bas, avec le doudou dans les mains. » De son doigt frêle, elle pointait une petite fille repliée sur elle-même dans un coin. En effet, dans ses bras frêles, elle tenait une peluche d’un phoque et elle semblait parler à quelqu’un. Quelqu’un qui n’existait que pour elle. Quelqu’un qui lui avait promis qu’un jour, elle partirait loin d’ici et de ses deux frères insupportables. Mais il lui avait promis qu’en partant, elle emmènerait Anastasia avec elle aussi. Parce que Anastasia elle, elle était gentille. Elle venait lui parler et même des fois, elle parlait avec Alexi, son ami. Elle lui parlait à ce moment-là, il lui promettait encore une fois de partir loin avec elle et Anastasia. Elle releva la tête et tomba nez à nez avec un homme blond. Il souriait. Il avait l’air gentil. « Tu t’appelles Tasha, c’est ça ? » La petite fille de six ans acquiesça. « Je m’appelle Andrej. Je viens de Moscou et ta maman et moi sommes amoureux. Nous allons tous aller emménager à Moscou. Enfin du moi, Elena ta maman, toi et moi. » « Et Anastasia. » Ce n’était pas une question. Le regard de la jeune fille disait tout. Elle ne partirait pas sans Anastasia. « Mais sa maman, elle… » « Sa maman accepte avec plaisir » lança la femme rousse derrière Andrej. Elle tenait par le poignet une petite fille rousse qui souriait à Tasha de toutes ses dents. Impossible de résister à ses deux regards d’une tendresse infinie, l’homme accepta. Deux jours plus tard, Andrej, Elena, Tasha et Anastasia étaient dans l’avion vers Moscou. Durant le voyage, l’homme blond expliqua rapidement à Tasha et Anastasia que désormais, elles auraient le nom de famille d’Elena, du moins jusqu’à leur mariage, et qu’après ça, ils déménageraient, certainement en Amérique. Mais pour le moment, l’heure était aux présentations, et, bien qu’une grande partie de sa famille soit en Amérique et l’autre à Tomsk, sa mère, elle, vivait sur Moscou. Arrivés dans la capitale, les quatre personnes se comportaient déjà comme une famille. Les filles étaient connues comme les Levseïev, trois personnes venues d’un petit bled de Russie, prises sous l’aile d’un riche entrepreneur Russe.
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« Anastasia !!! Rends le moi ! » « Non, c’est le mien ! Tu me l’as donné ! » « C’est MON phoque ! Rends-moi mon phoque ! » Les deux jeunes filles s’amusaient à se lancer la peluche phoque de Tasha depuis une demi-heure, lorsque, d’un coup de maître, Anastasia mit fin à ce jeu en gardant le phoque pour elle. La rencontre avec la mère d’Andrej s’était plutôt bien déroulée selon les petites filles, qui avaient étés bourrés de gâteaux et de bonbons. La réalité malheureusement, avait été beaucoup plus sombre. Lorsqu’Elena s’était présenté à la mère Brodovitch, celle-ci l’avait dévisagé et avait regardé son fils d’un air de dire « mon fils, qu’as-tu encore fait ? » Ce que, d’ailleurs, elle avait dit, quelques minutes plus tard. Pour elle, son fils était un travailleur et il n’avait rien à faire avec une femme. Oui, elle était l’inverse des mères en général, qui n’ont qu’une envie, celle d’avoir des petits-enfants mais elle non. Pour une raison plutôt logique, les enfants, elle n’avait jamais aimé ça. Lorsqu’ils étaient tous les quatre partis en Amérique, ils avaient alors rencontrés le reste de la famille d’Andrej qui, encore une fois, ne leur avait pas prévu un accueil des plus chaleureux. Lorsqu’Elena entra dans la pièce où les deux filles étaient en train de se battre, elle avait l’air complètement pressée et stressée. « Oh mes chéries, vous êtes là, on attend plus que vous enfin. Lâchez Spock le Phoque et venez donc assister au mariage de votre mère. Espèce de filles indignes. » Elle les embrassa sur le front et rigola doucement, suivit par les deux filles de 7 et 10 ans. Bien sûr, elles n’étaient pas des filles indignes, bien sûr, elle ne le pensait pas. Elle ressortit de la pièce avec deux petites filles derrière elle. Elle se précipita presque d’en l’allée, manquant de tomber à plusieurs reprises. Bien sûr, l’audience en rit. Les deux filles étaient en face d’un garçon d’un pu près leur âge, le premier fils d’Andrej. Anastasia ne l’aimait pas. Tasha par contre… Les vœux furent prononcés, les alliances échangés, et Elena Levseïev devint Elena Levseïev Brodovitch.
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« T’es qu’une … Une putain, voilà ce que t’es ! Jamais je n’aurais dû te ramasser dans ton bled pourri. » Les filles maintenant âgés de 10 et 13 ans étaient collés à la porte de leur chambre pour entendre ce qu’il se disait. Peu de temps après le mariage, la relation du couple a commencé à dégénérer. Ils s’aimaient toujours autant, mais ils se disputaient de plus en plus. La conversation commençait souvent pas un « Et si on s’agrandissait ? » d’Andrej et terminait dur un « T’es une bonne femme, mais tu sais même pas faire d’enfants », toujours d’Andrej. Alors oui, ils ne passaient pas une soirée sans se disputer, mais jamais il n’a levé la main sur elle. Jamais ils sont partis de ses disputes sans finir par un « je t’aime » échangé. C’était de l’amour, du vrai. « Non mais dis donc Andrej, le bled pourri c’est aussi ta ville d’origine, alors un peu de respect hein ! » répliqua-t-elle froidement. Il reconnut son erreur, et les deux filles passèrent la tête par la porte pour voir leurs deux parents s’embrasser. « BEURK ! » lança Anastasia. Elle rigolait, bien sûr. Elle aimait voir Elena et Andrej heureux, et elle aimait protéger sa petite Tasha contre tout. Cette dernière ne parlait plus avec Alexis, qui avait dû être abandonné quelque part entre la Russie et l’Amérique. Maintenant, elle ne parlait qu’à sa grande sœur et sa mère. Et ils étaient heureux. Une vraie famille parfaite. « Je vais chercher du pain, je reviens. » Andrej sortit de la maison, suivit de peu par Elena qui allait, elle, faire les courses. Pendant deux heures les petites filles furent seules dans la maison. Puis, Elena rentra. « Bah, votre père est pas rentré ? » Les filles hochèrent négativement la tête. Puis, la sonnette retentit. Et une impression de déjà-vu pour les trois filles se produisit. La mère s’approcha de la porte à contrecœur, et ses jambes la lâchèrent lorsqu’elle reconnut un gendarme derrière la porte. En arrière-plan, la plus jeune des deux filles pleurait dans les bras de la plus âgée. « C’était un accident. Nous avons prévenu sa famille. » Sa famille qui, dès la fin de la première visite chez le notaire, s’empressa de clamer que leur parent n’était pas mort d’un accident mais d’un meurtre arrangé par Elena. La corruption faisant son travail, Mme. Brodovitch, redevenue Mlle. Levseïev se fit arrêtée quelques jours plus tard.
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« Salut Tasha… » La châtain regarda le fils d’Andrej. Il était tellement beau. Châtain, à l’inverse de son père, avec les yeux bleus gris, comme son père. « Salut Tim… Ça va ? » Il haussa les épaules pour bien montrer qu’il n’allait qu’à moitié. En même temps, son père venait de mourir. Alors forcément, il allait pas danser la java. « Dis Tash… » « Oui ? » Il s’approcha d’elle et la pris dans ses bras. Il avait besoin de confort, c’était normal. Lorsqu’il la desserra il lui sourit et lui dit, doucement « Dis, tu diras la vérité hein devant les juges ? » « Mais Tim, c’est ma maman… » « Et moi je suis ton amoureux. Dis, tu peux faire ça non ? » Elle avait 10 ans, elle aurait pu être moins naïve, mais non, c’était elle. Et Tasha, lorsqu’elle avait 10 ans, elle était naïve. Deux jours plus tard, elle passa devant une cour et un avocat lui posa des questions. Durant tout ce moment-là, elle hésita à lui faire remarquer qu’il avait une tâche de chocolat sur la joue. « Donc, des sources nous affirme que vos parents se disputaient souvent. » « Tout le temps oui. » Elle ne remarqua pas le rictus sur les lèvres de la famille d’Andrej. Elle, elle pensait qu’elle les aimait comme faisant partie de leur famille. Mais bien sûr, la naïve Tasha avait faux. En effet, si Andrej avait délibérément donné tout son argent sur son testament à sa femme actuelle et ses deux filles, il y avait une raison. Cette raison ? Sa famille était composée de garces manipulatrices. « Vous aviez besoin d’argent ? » « Non. » « Si Andrej n’avait pas été là, vous en auriez eu besoin. » « Oui, on était pauvres avant. » Elle ne disait que la vérité. Mais la vérité, tournée d’une certaine façon, elle pouvait faire du mal. Beaucoup de mal. Une semaine plus tard la châtain était en train d’attendre la sentence avec sa sœur. Lorsque les portes s’ouvrirent, ce fut un Tim tout souriant qui sortit de la salle. Anastasia baissa la tête, mais Tasha lui sourit aussi. « Elle est sauvée ? C’est pour ça que tu souris ? » Ce jour-là, il lui rit au nez. « T’es vraiment trop bête. Comme maman dit, t’es euh…naïve. Grâce à ton témoignage les gens ont pensés qu’Elena avait organisé le meurtre de papa pour recevoir l’argent. Ta maman, elle sortira pas de prison de sitôt. »
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Cher journal, Aujourd’hui, j’ai 16 ans. Alors ouais, c’est Ana qui m’a offert un journal. Elle m’a dit que, vu que je ne parlais presque plus et que les seuls mots que je disais étaient ‘bonjour’, ‘au revoir’, ‘s’il te plait’ et, bref, toutes les banalités qui vont avec, ça me ferait du bien de quand même me confier à quelqu’un. Elle se trompait. J’adore écrire, et elle m’a fait promettre de noircir au moins une page. Bien. Et puis bon, puisque je suis obligé d’écrire, autant écrire sur ce qui me dérange non ? De toute façon, je sais que dès qu’Anastasia aura vu que j’ai écrit dessus, je le brulerais juste devant elle. Voilà, il y a 5 ans, je parlais encore normalement. D’ailleurs, j’étais même une vraie pipelette. Et le jour du procès, ce furent les paroles de trop. Si je n’avais pas témoigné pour les beaux yeux d’un connard ambulant, jamais ma mère ne serait allée en prison. C’était de ma faute. Malgré ce que me répète Anastasia. D’ailleurs, je trouve ça drôle, parce que je vois qu’elle m’en veut, je le vois. Mais pourquoi, elle ne peut s’empêcher de me répéter que ce n’est pas de ma faute. C’est stupide. Bref, je pense que tu veux savoir ce qu’il s’est passé après le procès ? Et ben, disons qu’on a dû batailler pour qu’ils nous envoient toutes les deux dans la même famille d’accueil. Et heureusement qu’Andrej nous avait obligé à porter le même nom de famille parce qu’on a pu faire croire qu’on était demi-sœurs. Bon après, quand on a été sûres de pouvoir toutes les deux rester sous le même toit, Anastasia a pris le temps d’expliquer toute notre enfance à nos parents d’accueil. Ils ne peuvent pas avoir d’enfants. Ils sont tellement… Ils sont adorables. Ils pensent que je ne leur parle pas parce que je ne les aime pas. Mais c’est le contraire. Ma parole a déjà fait beaucoup de mal à des personnes que j’aimais et je ne veux pas recommencer. Donc je ne parle pas. On vit depuis pas mal de temps avec eux. C’est normal. Parce qu’en fait, deux ans après le placement, ils ont lancés une demande d’adoption pour nous deux qui s’est finie assez rapidement. Donc aujourd’hui, nous sommes officiellement des Finnigan. Par contre, et je les en remercie d’avoir accepté et d’avoir compris, Anastasia et moi, on a gardé le nom de famille d’Elena. Du coup, on est des Levseïev-Finnigan. C’est plutôt cool. Evidemment, on se fait charrier et on nous demande souvent si on connait Harry Potter. Sincèrement, j’dois avouer que c’est plutôt marrant. Mais bon voilà quoi… Bon bah voilà, je l’ai noircie ma page. J’avoue, c’était cool, mais bon, c’est la dernière fois qu’on se voie. Paix à ton âme, journal intime d’un jour. Tash la tâche (Ouais, merci à Anastasia pour le surnom…)
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Le jour des dix-huit ans de Tasha, et donc deux mois après l’histoire avec Felix, Anastasia a voulu allez voir d’autres paysages. Elle avait donc décidé de faire le tour des paysages Américains, décidant, évidemment, d’emmener Tasha avec elle. Il leur avait fallu quelques semaines avant de se poser quelque part. Cette petite ville nommé Pearl Trees. La châtain ne comprenait pas l’adoration de sa grande sœur pour cette petite ville. Elle n’avait selon elle rien de particulier. Mais voilà… Sa sœur en avait décidé ainsi. Toutes les deux avaient pris un appartement et, alors qu’Anastasia commençait à travailler, Tasha elle, s’était inscrite à l’université pour prendre des cours de littérature.
► Je n'ai pas posté toute l'histoire de Tasha, uniquement les parties où Anastasia était mentionnée (qui sont quand même nombreuses). ► Dans mon histoire (mais c'est un chapitre que je n'ai pas posté parce qu'elle n'est mentionnée qu'au début), j'ai mis qu'Anastasia avait facilement des amis, donc si vous pouviez respecter ça, ce serait extra. ► Le reste de l'histoire est libre, que ce soit pour son travail actuel, comme pour la raison qu'elle a eu de vouloir partir de là où Tasha et elle vivaient avec leurs parents adoptifs. ► En ce qui concerne le lien avec Aksel, j'ai mis qu'elle lui avait menti sur ses vrais sentiments, à vous de trouver pourquoi.
" Ses petits liens... "
Apprenti & amour naissant
AKSEL E. GRIFFIN feat. NIALL HORAN. Le lien étant assez long et plutôt détaillé, il est dans le post suivant.
Petite sœur quasi-adoptive
TASHA A. L.-FINNIGAN feat. KAYA SCODELARIO. Le plus gros du lien entre les deux filles est compréhensible d'après l'histoire de Tasha et les quelques points que j'ai mit au dessus. Je tiens au fait qu'Anastasia protégera Tasha quoiqu'il se passe, malgré qu'elle ait aidé (involontairement) à envoyer Elena en prison (voir histoire au dessus). Après, si elle lui en veut ou pas, si un jour elle se décidera à lui parler de ça etc... Je vous laisse au choix. Mais juste, c'est une vrai protectrice pour Tasha. Elle n'a pas l'intention de la laisser tomber.
Codage par Pearl Trees
Dernière édition par Aksel E. Griffin le Lun 1 Sep - 15:51, édité 1 fois
Aksel E. Griffin
► MA PETITE BOUILLE : Niall cutie Horan ► PSEUDO : PUDDING MORPHINA ► APPARU DANS LE ROMAN LE : 25/08/2014 ► EXTRAITS POSTÉS : 48 ► EN CE MOMENT :
Sujet: Re: (F) KAREN GILLAN - man, can you stop stealing everything? Lun 1 Sep - 15:46
I will go down with this ship
Un sentiment de déjà-vu se produit juste devant la rousse qui ne réagit pas. Elle attend que ce soit son tour. Elle sait exactement comment il va agir, et elle va le lui faire comprendre. Lorsque le blond s’approche d’elle, sans la regarder, elle remarque bien vite ce bras baladeur que personne d’autre ne remarque. Elle ne le fixe pas non plus. Il pense qu’il passera inaperçu dans cette rue bondé. Mais il ne sait pas qu’il rencontrera plus fort que lui. Au moment où il passe à côté d’elle et que sa main se dirige vers le sac de la rousse, celle-ci le laisse faire. Elle a un sourire jusqu’aux oreilles et juste au moment où il ressort sa main de son sac, elle lui attrape le poignet, ne le regardant toujours pas mais le faisant non seulement lâcher sa prise, mais aussi se retourner vers elle avec les yeux écarquillés, certainement de peur de s’être fait prendre. Il est bon. Elle ne peut pas le dénier. Et le fait qu’il fasse le pickpocket dans les rues, ça lui fait presque pitié. Personne ne voit ce combat de regard entre les deux jeunes gens, ils n’y font pas attention. Mais ce regard veut tout dire pour eux. Ils se reverront. Avant de partir, le blond sent une main passer dans sa poche et la rousse part avec un clin d’œil. Et le blond reste là, un sourire béat scotché sur le visage.
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Aksel fouilla sa poche quelques heures plus tard. Il y trouva un portefeuille qui n’était pas le sien et un papier l’accompagnant : Tu devras me le rendre un jour ou l’autre… C’est comme ça que tout a commencé. Un jeu tordu qu’eux seuls comprenaient. En cherchant dans le portefeuille, le blond avait appris que la rousse s’appelait Anastasia Levseïev et qu’elle avait 23 ans. Puis, une pensée avait traversé son esprit : elle ne le connaissait pas, et elle lui avait donné son portefeuille avec tout à savoir sur elle à l’intérieur. Comment pouvait-elle être sure qu’il la rechercherait et qu’il ne prendrait juste pas l’argent ? Est-ce qu’elle avait vu en Aksel ce que tout le monde loupait ? A savoir que le vol n’était pas ce qui lui plaisait, mais plutôt la peur ou l’envie de se faire prendre ? Peut-être. En tout cas, il devait la retrouver. Il y avait une raison pour qu’il aime particulièrement Pearl Trees, c’est que tout le monde se connaissait. Ils étaient à Woodburgh lors de leur rencontre, mais il commença ses recherches dans sa propre ville en se disant que certaines personnes pourraient quand même la connaître. Après avoir demandé à cinq personnes, il connaissait son travail, une petite partie de sa vie et surtout, son adresse, à Pearl Trees. Il s’y rendit le soir même avec le portefeuille. Il le mit dans une enveloppe kraft, dans sa boîte aux lettres avec, en bonus, une de ses anciennes photos de classe et une note : J’ai joué, à ton tour maintenant… Il ne savait pas pourquoi il avait fait ça, mais il l’avait fait.
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« Aksel, c’est pour toi. » Le père du blond était venu le chercher. Une semaine était passé depuis la boîte aux lettres, et le jeune pensait vraiment qu’Anastasia avait abandonné. Qu’elle trouvait ça stupide. C’est donc sans conviction qu’il s’était rendu à la porte. Lorsqu’il avait vu qui y était, un sourire s’était directement placé sur son visage. Elle était venue finalement. « Aksel Even Griffin, 18 ans, ta photo était celle de tes 14 ans. Tu as deux frères que tu adores, un que tu aimes beaucoup moins, et un que tu apprécies et qui est le plus calme de vous. Tu as été adopté et tu es né en Lettonie. » Le blond sourit et sortit sur le pas de la porte et la referma une fois dehors en compagnie de la rousse. « On va marcher ? » Elle acquiesça. Ils marchèrent un moment sans bruit. Puis, Anastasia brisa le silence « Tu te demandes pourquoi non ? » A son tour il acquiesça. « En fait c’est plutôt simple. Les simples pickpockets, en général je les arrête, ils me rendent ce qui est à moi et ils s’en vont, mais toi, je ne t’ai pas repéré aussi facilement. Tu as du talent que d’autres n’ont pas. Tu as le même talent que moi. Tu m’as intrigué. Et le plus étonnant, c’est que j’avais environ 2 billets de 100 dans mon portefeuille, celui que je t’ai…prêté, et ils y étaient quand tu me la rendu. Et puis, avec le coup de la photo bah, je savais que je m’entendrais bien avec toi. » Il lui sourit à cette réponse, et ils continuèrent à marcher. Lorsqu’ils furent de nouveau devant la porte de chez les Griffin, il savait presque tout d’elle, et elle connaissait toute sa vie. Ils savaient déjà qu’ils allaient être amis.
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« D’accord, alors maintenant, tu passes devant la caisse comme si tu n’avais rien acheté. » « Oui, bah c’est bon, je sais ça, je suis pas un novice non plus. » La jeune femme rigola derrière son téléphone. Elle avait envoyé Aksel dans un magasin de jeu un quart d’heure plus tôt. Il devait trouver le jeu le moins cher et lui ramener. Juste pour s’entrainer. Il n’y avait pas d’enjeu, et puis s’il se faisait prendre, il pourrait toujours payer le jeu. Il avait regardé le prix, c’était sans nul doute le moins cher. Il expira de mécontentement, comme s’il n’avait pas trouvé ce qu’il était en train de chercher, et, continuant à passer les yeux sur les étagères en profita pour enlever l’emballage du jeu. Fait. Il alla vers le vendeur et lui demanda s’ils avaient un jeu d’arcade sympa en réserve, l’autre hocha négativement la tête. Aksel haussa les épaules et sortit, le jeu dans le sac, sans aucun souci. La rousse était assise à un café et l’attendait. En le voyant arriver un grand sourire aux lèvres elle se leva et lui tapa derrière la tête « Bah merde Aksou, j’ai cru que tu reviendrais jamais. » Il lui servit son sourire le plus innocent et lui tendit quelque chose. « C’est quoi ? » « C’est pour fêter nos quatre mois. Enfin je veux dire, ça fait quatre mois qu’on vole ensemble. » La rousse rigola à plein poumon « Bah vas-y, dis-le encore plus fort pendant que t’y es. » Il lui sourit à son tour et ouvra les mains, laissant apparaître un petit bracelet. Une petite chaîne en argent, très simple. « Aksel… Qu’est-ce qu’on a dit à propos des bijoux ? » Elle reprit sa contenance et son apparence de femme en colère. « Ah mais non, je l’ai payé, j’te jure. Regarde, y’a même tes initiales dessus. » Après une rapide inspection, elle dut bien constater qu’il devait l’avoir payé. Elle savait aussi que c’était surement avec de l’argent volé, mais vu le regard de chien battu qu’il lui lançait à cet instant, elle ne put que l’accepter.
•••
Aksel était assis dans un café. Anastasia lui avait demandé de l’y rejoindre mais elle se faisait attendre. Lui, n’avait pas que ça à faire. Aujourd’hui était un jour spécial. C’était son anniversaire. Il avait 19 ans. Ca faisait déjà une année entière qu’il voyait Anastasia et qu’elle lui apprenait des tours pour voler plus facilement, ou plus dangereusement. Il volait beaucoup moins seul et beaucoup plus avec elle. Lorsqu’il vit une chevelure rousse s’approcher, son sourire s’élargit. Il avait toujours ce retournement de l’estomac, ce petit pincement à la poitrine, ces petits chatouillement au niveau du bas ventre lorsqu’il la voyait arriver, mais jamais il ne lui en avait parlé. Il savait ce que ça voulait dire, il essayait juste de faire en sorte de l’oublier. Il savait que ça gâcherais tout s’il lui en parlait. « Youhou, Aksel ? Ça va ? » Anastasia agitait sa main devant le visage d’Aksel qui était perdu dans ses pensées. « Ouais. Ouais ouais ça va et toi ? » « Moi aussi… » Cette gêne, ce manque de conversation, elle était nouvelle. Elle était apparue quelques jours auparavant. Vous vous souvenez de cette chaîne ? Et bien Anastasia lui en avait acheté une aussi. Et le sentiment de chacun avoir la même chaîne, c’était bizarre. Mais en même temps, ça paraissait normal. « Pourquoi t’as pas attendu mon anniversaire pour me l’offrir la chaîne ? » Elle lui sourit, contente surement qu’il ait brisé le silence « Parce que ton anniversaire tombe le jour de la Saint Valentin crétin. » Ils rigolèrent puis de nouveau le silence. Le blond se leva sans rien avoir commandé et la rousse le suivit de près. Il se mit à courir et elle aussi. Lorsqu’elle le rattrapa, sa main se posa sur son coude. Ils se fixèrent pendant un moment, le souffle coupé, puis elle sourit. « Chat ! » Et elle se mit à courir. « Non mais t’es sérieuse ? » Il rigola à son tour et se mit à la pourchasser.
Tout ça, c’était avant qu’il ne retrouve Jakob. Tout ça, c’était avant qu’elle se rende compte qu’elle avait des sentiments pour lui. Tout ça, c’était avant qu’elle ne lui dise clairement, mais en lui mentant, que pour elle, il n’était qu’un ami et un disciple. Tout ça, c’était avant qu’elle ne le fasse pleurer.
#akstasia ( l'Extasy du vol (; )
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